lundi 13 mars 2017

Mes dernières séries...

Je crois que Netflix est devenu mon dealer officiel! 
Malgré tout, je me suis rendue compte qu'en plus d'être totalement névrosée (c'est mon nouveau truc et ça fait rire tout le monde, tant c'est absolument n'importe quoi! Disons que j'aurais adoré l'être...bref!), je suis résolument monomanique et ça, quelque soit le sujet. 

Pour la nourriture, je suis capable de manger un aliment matin, midi et soir et de ne plus y toucher pendant des mois, voir des années. Pareil pour la musique, j'écoute un album, une chanson, un artiste en boucle jusqu'à l'écoeurement. Idem pour la lecture que j'ai complètement laisser tomber ces dernières semaines alors que j'étais plutôt bien partie depuis le début d'année...

Pour les séries, sans surprise, c'est le même combat. Je consomme, je consomme et je reste des semaines sans m'y replonger. Faut croire que ces dernières semaines, j'ai refait le grand saut de ce coté là...


Breaking Bad

Bon là, on sera d'accord pour te dire que je ne vais rien te faire découvrir du tout, puisque je pense être la dernière personne à avoir découvert cette série. Breaking Bad (ou Le Chimiste au Québec) est une série qui est basé sur Walter White, professeur de biologie qui mène un vie tout ce qu'il y a de plus banale. Banale jusqu'à ce qu'il apprenne être atteint d'un cancer du poumon et décide de mettre sa famille à l'abri du besoin financier en devenant fabriquant de métamphétamines. 
J'ai complètement dévoré les cinq saisons, sur le même mode qu'avec The Walking Dead, c'est à dire en mode "associale", tous les soirs, tous les week-end jusqu'au dénouement final. 
Ca m'a pris trois semaines. Cinq saisons en trois semaines. Oui, madame! J'ai même penser un court instant à tomber malade pour rester vautrer dans le canapé, tu imagines?


The O.A.

Là, ca va se compliqué parce que c'est assez difficile de te parler d'une série dont je n'ai absolument RIEN compris. C'est une première... Je n'ai jamais prétendue être le cerveau du siècle, ni même de l'année mais là, j'avoue n'avoir toujours pas compris à ce jour où voulait nous emmener les scénaristes. Et ça va être encore plus coton de tenter d'expliquer sans trop en raconter.
Prairie, aveugle depuis sa plus tendre enfance, revient dans sa ville natale sept ans après avoir soudainement disparue. Elle revient sans explication et voyante, refusant d'expliquer quoi que ce soit sur ces sept dernières années sauf à cinq personnes...
Je ne suis pas fan des séries de science-fiction, et je ne pense pas que j'aurais qualifiée cette série comme de la SF, c'est un délire un brin "onirique" mêlée de réflexions sur les traumatismes, le rapport à la mort et à ce qu'il peut se passer après. 
J'ai détesté, mon barbu est moins catégorique et attend la saison deux pour essayer de comprendre les pourquoi des comment, mais ce sera sans moi. 


Reign

Reign est une fois encore pas de toute première jeunesse pour les "séritovores" (tiens, un nouveau mot, il y avait longtemps!), puisque cette serié affiche presque trois saisons au compteur. 
La série est "tirée" de la vie de Marie Stuart, reine d'Ecosse et si je mets de gros guillemets c'est parce que si on retire le nom de l'héroine principale, rien de tout ce que l'on peut voir n'est issue de sa propre vie au delà du premier épisode. Bref, en un mot comme en cent, si tu voulais t'instruire, passe à autre chose ou tu auras l'air d'une bécasse dans tes futures soirées. 
Marie Stuart, à peine âgée de quinze ans, débarque en France après avoir passée sa jeunesse dans un couvent pour devenir la future Reine de France, épouse du prince Francois. 
Moult rebondissement, des trahisons en veux-tu en voilà, des infidélités, du sang, des complots sont le lot de chaque épisode. Reign se regarde gentiment et je suis passée de la plus grande affection à la pire irritation pour cette jeune reine tous les cinq épisodes. 



Gilmore Girls (10 après)

On va la faire courte, Gilmore Girls tu dois connaître, une série qui racontait la vie d'une mère célibataire et de son adolescente de gamine, un peu friquée mais pas trop, accroc à la caféine et aux petites emmerdes quotidiennes... Tu resitues? Bien.
Quand j'ai lu que les scénaristes remettaient le couvert pour quatre nouveaux épisodes pour nous conter ce que les habitants de Star Hollow étaient devenus, j'étais follement impatiente à l'idée des retrouvailles. J'aime beaucoup Lauren Graham mais l'actrice qui joue sa fille beaucoup moins et même si ça fait plaisir de les retrouver, j'ai trouvé ça un peu indigeste à la longue...



Sign Sealed Delivered

Attention, coup de coeur! (le dernier en date!
Je suis tombée sur cette série un peu par hasard, j'ai regardé un épisode et la magie a opéré dès les premières minutes. 
Un service désuet et totalement oublié de la poste, travaille dans les sous sols d'une succursale pour retrouver les destinataires des courriers égarés. C'est lent, sans trop d'intrigues, désuet, j'ai même le sentiment que cela aurait pu être écrit au siècle dernier mais j'aime tellement l'atmosphère qu'il s'en dégage que ce fut un petit bonheur au fil des neuf épisodes. 



The crown

La série est arrivée en fin d'année dernière sur Netflix retraçant la vie de la plus célèbre des monarques, ElisabethII. Arrivée au pouvoir lors de son vingt cinquième anniversaire, elle va devoir composer avec l'imposant Churchill, négocier avec l'ego de son mari tout en restant à sa place....
Je trouve la photo de la série très sombre, le récit un peu long parfois mais c'est assez fidèle à la réalité dans l'ensemble...


Et j'en ai six nouvelles sous le coude ! 


mercredi 8 mars 2017

Tristesse...

Ce soir, affalée sur mon canapé, je regarde distraitement le flux de mes réseaux sociaux et puis, je vois une photo de la célèbre arche de Gozo, plus connue sous le nom de Azure Window. Je souris. 
Je souris à la vue de la photo et continue de compulser mon flux Instagram.
Un second cliché puis un troisième et je finis par lire les textes...


Sous le poids d'une énième tempête, la nature a reprit ses droits et englouti cette beauté née de l'érosion qu'elle avait, elle-même façonnée au fil du temps. 

Mon coeur s'est fendu sur l'instant et bêtement mes yeux ont, eux aussi pris l'eau. 
J'ai attrapé l'ordinateur, manipulé Facetime pour joindre Mr Grumpy, lui suppliant presque d'appeler son père pour nous rassurer. Nous avouer qu'il s'agissait d'une immense campagne de publicité de l'office du tourisme local ou d'une blague maltaise de mauvais goût. 

Mr Grumpy a prit son air le plus grave pour m'avouer la triste vérité. Azure Window n'est plus et mes larmes ont reprit du poil de la bête. 
C'est quand même ridicule de se mettre dans un état pareil pour de la roche, pas vrai?


L'Ingrat a fait ses premières plongées à ses pieds, presque "protégé" par cet immense bras. On y a passé tellement de moments, pas un seul passage sur l'archipel sans nous rendre sur le site pour y admirer la vue, un coucher de soleil ou tout simplement se retrouver un peu seule face à la mer quand le flot de touristes de la journée disparaissait. 

La photo ci-dessus est manifestement les adieux de l'Ingrat à cet "Etretat" maltais. Le tout dernier jour de notre toute dernière visite à Gozo, à la fin de l'été 2014...


La lumière y était sublime à toute heure de la journée, comme partout ailleurs sur l'île et comme je pouvais pester après ces touristes inconscients qui bravaient les panneaux d'interdictions et qui continuaient à jouer avec le danger en se promenant dessus, raccourcissant certainement sa lente et inéluctable dégradation...


J'ai eu la chance de pouvoir visiter des lieux magnifiques dans ma vie mais mes plus beaux couchers de soleil c'est bien cette "fenêtre d'Azur" qui me les a offert...

jeudi 23 février 2017

Une jolie crédence ou l'illusion de la faïence...

Pour écrire ce billet, je suis allée faire un tour sur celui que j'avais rédigé après mon installation. Et que dire, à part que les transformations n'ont finalement jamais cessé. Transformations matérielles mais pas que. Moi aussi, j'ai changé. En bien (je l'espère) mais je ne suis définitivement plus la même qu'à mon arrivée dans cette région et (petit moment d'auto congratulation) je m'en réjouis! 

Bref! On va la faire courte et pour l'introspection, on se retrouvera une autre fois (ou pas, parce que m'épancher ça va bien cinq minutes et puis quand tout va plutôt bien, j'ai toujours tendance à me la jouer Grande Muette!). 

Je suis locataire d'un logement social alors même si je n'ai jamais eu envie de vivre dans un truc insalubre, il a toujours été hors de question de me lancer dans des travaux de rénovation qui allait me couter un PEL (pour les organes, j'ai déjà tout vendu, il y a belle lurette!). 

(Oui, le bordel, c'est cadeau!)

A mon arrivée, j'ai bien entendu repeint toutes les pièces du sol au plafond mais rien de plus (la salle de bain ne compte pas, le père de l'Ingrat étant plombier de profession, je n'ai pas déboursé un centime). 

Dans la cuisine, par contre ça a prit plus de temps. Pour être franche, il a fallut le temps que je me retrouve l'envie de cuisiner et du coup de me rendre compte qu'elle n'était pas pratique du tout! 

Dans ce genre de location, il n'y a jamais de cuisine équipée (faut pas rêver), juste un meuble sous évier (le mien est en inox, la plaie universelle si l'eau est calcaire et devine?) et basta. 
Pas de plan de travail, de rangement ou d'étagère. Que dalle. Alors si j'ai "survécut" de cette manière les premiers mois, très vite je me suis mise à chouiner sur le peu de praticité de la pièce. 
Mon Barbu a posé un plan de travail et avec ma belle-mère nous avons installées nos premières étagères. 

Le résultat me plaisait plutôt pas mal et du coup, je ne voyais plus que cette crédence en carrelage blanc, un peu jaunit par le temps et des joints grisonnants. 

J'ai farfouillé un peu, beaucoup sur le net et je suis tombée sur des autocollants, imitation parfaite de faïences anciennes. J'étais un peu sceptique sur le rendu de la chose et encore plus sur sa durée de vie (autocollant et endroit souvent aspergé d'eau (ici, c'est l'ingrat qui fait la vaisselle, ahem!) ne font pas vraiment bon ménage) mais je me suis lancée, malgré tout. 


La pose est ultra facile (et rapide, ce qui ne gâche rien), il faut juste bien nettoyer la crédence et retirer toutes traces de graisse, laisser sécher et en avant pour l'application. Les autocollants se commandent au format du carrelage existant, et il suffit de les coller dessus avec une petite spatule pour chasser les bulles d'air. 

On laisse bien adhérer pendant 24 heures et c'est tout. 


On peut choisir la taille, le motif et la couleur. Pour ma cuisine, j'ai donc choisi deux motifs différents dans les mêmes teintes de noir et de gris (on ne se refait pas totalement). 
Il m'a fallut 45 minutes pour faire l'ensemble de la crédence et je suis ravie du résultat. 

Une crédence pour moins de 60 euros, frais de port compris. Le bonheur, je te dis!



Quand je te disais dans le précédent billet consacré au nid que le futur locataire serait ravi, je n'ai vraiment pas menti!

Le site où j'ai déniché mes merveilles : AdR Carreaux

lundi 20 février 2017

Mes dernières lectures...

Pour les besoins de ce billet, je suis retournée sur d'anciennes publications et je me suis amusée à compter le nombre de livres lus en 2016. J'avais un peu peur du résultat et malgré un premier semestre lamentable, j'ai finalement réussi à terminer l'année sur 13 ouvrages compulsés. 

On se gratifie d'un rien parfois. 

Je pense que si 2017 continue sur cette lancée, on devrait pulvériser le score (tu remarqueras le vocabulaire sportif utilisé. Pour des livres d'accord, mais sportif tout de même.)! 
Bon, j'avais également promis de ne pas attendre d'avoir terminé une pile comme comme mon avant-bras pour venir t'en causer, sur ce point, j'ai clairement échoué. Tant pis. 


Et, il y a également ceux lus sur ma Kindle mais je pense que je ferais un second article. 

Quand j'ai du mal à me plonger dans mes lectures, il me faut absolument quelque chose de léger, dont je ne me souviendrais plus trois semaines après l'avoir lu mais qui sur l'instant, t'embarque dans la seconde...

La petite boulangerie du bout du monde de Jenny Colgan.
Polly une jeune femme qui voit son mariage et son entreprise prendre l'eau, décide sur un coup de tête  de partir seule dans un petit port de pêche des cornouailles. 
Pour calmer ses angoisses et ne plus penser à rien, Polly pétrit. Fabriquer du pain lui vide la tête et lui permet également de payer son loyer. Polly se bat pour se faire une place parmi la population locale et finira, forcément par tomber amoureuse...


Aurora, Kentucky de Carolyn D. Wall.
En 1938, dans le Kentucky, entre racisme nauséabond et la pauvreté ambiante (je te plante un décors de rêve, avoue!). Olivia se bat pour élever son petit fils William tout en tenant l'épicerie d'Aurora, héritée de son père décédé et veille sur sa mère à moitié barrée. 
Olivia vit seul, et ne vit que pour son William qu'elle élève seule depuis que sa fille s'est débarrassée du gamin pour aller vivre son rêve hollywoodien (grande classe). 
En luttant à sa manière contre la ségrégation, Olivia va découvrir l'horrible vérité sur la disparition de ce père tant aimé et disparu beaucoup trop tôt...
Comment te dire? J'ai adoré ce roman. 
J'aime beaucoup, de temps en temps, me plonger dans l'Amérique rurale du siècle dernier, beaucoup moins marquant que "Ne tirez pas sur l'oiseau moquer" de Harper Lee, il n'en est pas moins saisissant avec une fin inattendu, à la limite d'un très bon thriller. 
Je te le recommande vivement! 

L'éveil de Mademoiselle Prim de Natalia Sanmartin Fenollera.
"Cherche esprit féminin détaché du monde. Capable d'exercer fonction de bibliothécaire pour un gentleman et ses livres. Pouvant cohabiter avec chiens et enfants. De préférence sans expérience professionnelle. Titulaires de diplômes d'enseignement supérieur s'abstenir."
C'est la couverture qui m'a donné envie de soulever ce roman. J'ai eu envie de me plonger dans cette histoire en espérant y découvrir une belle histoire autour de personnages hauts en couleurs et profond. J'avoue avoir été un poil déçue. Evidement, l'idée de départ est bonne: un homme qui s'escrime à vouloir faire de son village reculé, un haut lieu de belles valeurs morales et d'entraide de voisinage, mais tout est beaucoup trop lent dans ce bouquin. Des descriptions à l'en plus finir et qui au lieu de servir l'histoire, donnent l'impression d'exister juste pour le plaisir d'épaissir une bien belle histoire mais qui aurait certainement trouver sa place dans un format "nouvelle". 

Agatha Raison enquête, tome 1: La quiche fatale de M.C. Beaton. 
Comment ne pas être intriguée à la lecture du titre un peu loufoque? Pour mémoire, je me souviens du régal à la lecture du "Cercle des amateurs des éplucheurs de patates", il y a quelques années de ça et depuis, dès qu'un titre sort un peu de l'ordinaire, je ne peux m'empêcher de le retourner.
Agatha Raison, publicitaire au dent longue, vend son agence londonienne pour aller vivre une retraite pleinement mérité dans un petit village des Costwolds. 
Mais passer d'une vie trépidante et mondaine en plein coeur de la city à farnienter toute la sainte journée, ce n'est pas si simple en particulier pour Agatha. 
Agatha, qui sous prétexte de vouloir se faire adopter par les habitants du coin, va se retrouver au coeur d'une enquête criminelle. 
Et là encore, j'ai aimé l'ambiance du livre, comme à chaque fois que l'on m'emmène dans la campagne anglais ou en Irlande, un chouette petit roman policier à la "Agatha Christie" version débutante et amateur. 

Les gens heureux lisent et boivent du café et La vie est facile, ne t'inquiète pas de Agnès Martin-Lugand.
Pour commencer, je dois rendre à Tartine (oui, je sais que tu as changé de pseudo, mais dans mon coeur tu restes ma Tartine) ce qui lui appartient et lui dire un grand merci pour la découverte. 

Diane perd son mari et sa fille dans un accident de voiture et elle cesse immédiatement de vivre. Elle survit, seule avec Félix son ami de toujours qui veille sur elle de loin en tenant à bout de bras ce café librairie que Diane avait ouvert lorsque le bonheur était encore présent. 
Dans un dernier élan de survie, elle s'envole pour l'Irlande pour essayer de se reconstruire ou au moins, pour ne plus avoir sous le nez, le souvenir de cette vie qui lui a été injustement retirée. 
On quitte le premier roman, le coeur serré et la mine boudeuse sur une fin pas si heureuse que ce l'on en a attendu et puis, la magie de la découverte sur le tard, c'est que la suite est déjà disponible pour retrouver Diane, plus forte, plus belle mais toujours aussi touchante et vivre avec elle, "son happy end".


Depuis, cette photo qui ne date finalement que d'une dizaine de jours, deux autres romans ont été dévorés. On ne m'arrêtera plus! 
Du coup, je pense que ce genre de billets va devenir un peu plus récurrents pour mon plus grand plaisir, parce que je trouve plus intéressant de faire le point sur mes lectures plutôt que sur des produits terminés (qu'il n'y aura plus ici, j'ai décidé de jeter au fur et à mesure, désolée).

Sur le même sujet, je reviens donc vite te parler de ma nouvelle liseuse et je te raconterais aussi comment je déniche mes futures lectures! 

Et toi, tu lis quoi? 

mercredi 15 février 2017

Les eaux florales et moi.

Je ne sais plus quand tout cela a commencé et en ce moment, si tu me demandes de cogiter à autre chose que ce pu**** de prêt qui va me cheviller au corps pendant 15 ans, c'est peine perdue! (C'est d'ailleurs, peut-être voir sûrement, la raison de la reprise du blog, un besoin presque vital de m'évader en parlant futilités).

Bref! Je disais que je ne me souvenais plus du tout à quel moment l'addiction aux eaux florales a bien pu débuter... Je me souviens, il y a encore quelques années, je ne supportais pas l'odeur de l'eau florale à la rose. Un "cliché qui va bien" sur les mémés, certainement. 



Et puis, j'ai découvert le maquillage, les soins et forcément le démaquillage avec tous les tâtonnements que cela impliquent, tu t'en doutes. 
J'ai mis un temps fou à trouver LE démaquillant qui me permet de ne pas éviter cette étape et même de lui conférer un certain plaisir. Ce n'est pas vraiment un secret, pour moi, il s'agit de l'huile démaquillante. Longtemps celle de Shu Uemura d'ailleurs, et puis pour essayer de ne pas y passer toutes mes économies, j'en ai testé beaucoup pas toujours avec le même plaisir mais souvent avec une efficacité prouvée. 

Si l'huile est, encore une fois pour ma part, la galénique la plus approprié pour le démaquillage, elle m'astreint au double nettoyage et pour ne pas laisser un résidu de calcaire sur mon visage, j'ai donc adopté l'eau florale pour la touche finale du démaquillage. Sentir ma peau propre et fraîche, c'est la récompense en rentrant du boulot (je ne me maquille pas le week-end). 

Au fil du temps, c'est également devenu un geste incontournable de ma routine du matin. 
Je me lève, je file vers pipi (le sens des priorités!), je passe par la salle de bain pour passer un coton  imbibé d'eau florale, je mets mes sérums/crèmes et je passe à la cuisine pour le jus d'orange pressé. 
Ce geste du matin permets de réveiller mes traits et de retirer le film un peu gras que la nuit a généré. 

Mariel, du blog Le Blog De Néroli, ne jure que par la fleur d'oranger. Et moi, devant Mariel, je suis un peu faible, j'avoue!
Note que je déteste la fleur d'oranger dans l'alimentaire et que je n'en étais pas une très grande amatrice dans les cosmétiques ou les parfums, mais il faut croire qu'avec l'âge...
Il y a bien aussi eu la crème à la vitamine C de The Body Shop qui sentait bon l'agrume du soleil et qui m'avait un peu laissé "entrevoir la lumière". 

Bref, après terminé un énième flacon de mon eau de rose, j'ai flâné dans le rayon et j'ai attrapé celui à la fleur d'oranger. Le début de la fin. Aujourd'hui, ma maison respire l'agrume! 

De la fleur d'oranger sous toutes ses variations et ce n'est même pas une senteur de saison! Oui, je déteste ne pas être en phase météologiquement et olfactivement parlant mais le printemps va bien finir par pointer le bout de ses bourgeons non? 





lundi 13 février 2017

Mes dernières séances ciné...

Si j'ai beaucoup déserté le blog, ces derniers mois c'est d'abord à cause de ma feinéantise légendaire et puis, un peu aussi, parce que je suis la fille la plus désorganisée de la planète. Enfin, j'en ai bien l'impression (mais maintenant, je le vis bien!). 

Non, parce que même si je blogue depuis plus de dix ans maintenant, je continue de ne pas piger comment font les autres blogueuses. Enfin celles qui travaillent à coté ne se sont pas professionnalisées, j'entends! 

Un boulot à 35h voir plus (t'inquiète, je suis dans ta team, amie!), un appart, des enfants, un mec, un chat et un frigo à remplir, je suis constamment sous l'eau. Enfin si je veux profiter un tant soit peu des miens. Je n'y arrive pas. Je te jure que j'ai essayé mais à chaque fois il y a un truc...

Genre, j'ai prevu de bloguer un samedi matin et paf, il neige. Vite, un manteau, des bottes et zou, bonhomme de neige avec la paupiette! 
Un autre samedi, je me lève, j'ouvre les volets et grand ciel bleu; Vite, j'attrape lunettes de soleil (oui même en hiver, la malédiction des yeux bleus), mes clés et zou, au marché avec la paupiette. POulet rôtie et après-midi "guilli". 
Une autre fois se sont mes racines à camoufler, une maison à visiter (je t'en reparle, je t'en reparle et tu connais le refrain), des plats à préparer pour l'Ingrat qui mange à la "gamelle" cette année (et je refuse le "tout préparé", je suis et resterais "old school" non mais c'est quoi ces histoires?), un livre à terminer (de lire hein, ne prends pas peur non plus!). Bref, la vie. Ma vie. 


 Bridget Jones Baby

Après avoir rompu avec Mark Darcy, Bridget se retrouve de nouveau célibataire, 40 ans passés, plus concentrée sur sa carrière et ses amis que sur sa vie amoureuse. Pour une fois, tout est sous contrôle ! Jusqu’à ce que Bridget fasse la rencontre de Jack… Puis retrouve Darcy… Puis découvre qu’elle est enceinte… Mais de qui ???

Oui, je suis allée voir le dernier opus de Bridget et oui, j'y ai emmené l'Ingrat (qui a beaucoup, beaucoup trainé de la savate mais qui a fini par sourire, un peu!). 
Apparemment Renée a refusé de reprendre du poids pour ce 3ème jet et c'est une Bridget déplumée que j'ai retrouvé sur le grand écran. Limite, j'avais envie de lui balancer mes pop-corns! 
Bon, à ce stade là, on veut bien lui pardonner à la Renée, on sait quel enfer cela peut-être quand on veut perdre 100 gramme après 40 ans...
Mais le botox, meuf on peut en parler? On se tape déjà toutes les youtubeuses dans ce registre, tu n'aurais pas envie de me refiler du naturel et surtout des expressions? Non parce que là, Bridget elle est tellement figée qu'il m'a fallut être hyper attentive pour comprendre lorsqu'elle chouine ou quand elle rit! 
Dr Mamour n'a rien à foutre là dedans, parce qu'il reste toujours pas mal le Darcy malgré le fait que l'on augmente son taux de "coincitude" à son paroxysme sur chaque tournage (je crois qu'il doit avoir des flatulences refoulées, à vérifier!). 
On finit par comprendre (et acquiescer) que Cleaver est refusé de rempiler sur un scénari aussi pauvre. 



Radin ! 

François Gautier est radin ! Economiser le met en joie, payer lui provoque des suées. Sa vie est réglée dans l’unique but de ne jamais rien dépenser. Une vie qui va basculer en une seule journée : il tombe amoureux et découvre qu’il a une fille dont il ignorait l’existence. Obligé de mentir afin de cacher son terrible défaut, ce sera pour François le début des problèmes. Car mentir peut parfois coûter cher. Très cher…

Je devais aller voir ce film avec mon Clem d'amour (un ch'tio collègue tout choupi) mais nos emplois du temps n'ont pas réussit à se mettre d'accord et j'ai finalement été le voir in extremis avant qu'il ne quitte les salles. 
Tu sais pas? C'est la dernière fois qu'il m'a le Boon. C'est lourd, pas très drôle et sans contenu. 
Si tu veux sourire, regarde la bande-annonce et gagne du temps. 



Inferno

Dans "Inferno", le célèbre expert en symbologie suit la piste d’indices liés au grand Dante lui-même. Robert Langdon se réveille dans un hôpital italien, frappé d’amnésie, et va devoir collaborer avec le docteur Sienna Brooks pour retrouver la mémoire. Tous deux vont sillonner l’Europe dans une course contre la montre pour déjouer un complot à l’échelle mondiale et empêcher le déchaînement de l’Enfer…

Je suis allée à Florence, l'été dernier et c'est en faisant des recherches sur la ville que j'ai appris que Robert Langdon allait remettre "les gants", tu n'imagines pas comme cette nouvelle m'avait mise en joie à l'époque. 
Impatiente de voir le film, j'ai donc couru ventre à terre dans mon cinéma de province (à defaut de quartier hein), le jour de sa sortie, armée de pop-corns! 
Bon. C'est du Dan Brown réalisé par Ron Howard donc dans l'ensemble, l'histoire se tient et elle est magnifiquement filmée. Par contre (oui, je suis pointilleuse ces derniers temps), Tom Hanks mon loulou, il aurait peut-être fallut un peu plus de remise en forme parce que là, coté crédibilité on approche le zéro pointé! 
Omar Sy est toujours un peu à l'ouest quand il joue en VO, mais comme c'est le frenchie à la mode, on est quand même bien content de le voir trente secondes à l'écran même si son jeu est un peu pourri, faut avouer. 


Dalida

De sa naissance au Caire en 1933 à son premier Olympia en 1956, de son mariage avec Lucien Morisse, patron de la jeune radio Europe n°1, aux soirées disco, de ses voyages initiatiques en Inde au succès mondial de Gigi l’Amoroso en 1974, le film Dalida est le portrait intime d’une femme absolue, complexe et solaire... Une femme moderne à une époque qui l’était moins ... Malgré son suicide en 1987, Dalida continue de rayonner de sa présence éternelle.

Sache que dans la famille, on est fan de Dalida (et aussi de Serge Lama mais là, n'est pas le sujet) de père en fille en fils! 
Si tu ajoutes, mon engouement pour les biopics en tout genre, j'étais quand même LA cible pour ce genre de film. 
Tu sais quoi? J'ai chanté sur tout le répertoire! 
Hormis ça, absolument aucune émotion et pourtant avec la vie qu'elle a eu, y a de quoi pleurer dans les chaumières. 
L'actrice qui incarne la chanteuse est juste formidable dans le rôle, elle nous embarque dès la première seconde du long métrage. 
Pour le coté émotion, je te conseille de voir (ou revoir) le téléfilm en deux parties qui avait été diffusé en 2005 avec dans le rôle titre Sabrina Ferrili qui se défendait pas mal (malgré un faux air à l'autre chouchou d'Orlando, Hélène Segarra mais comme ça, la boucle est bien bouclée!)


Et toi, des coups de coeur sur format grand écran, ces derniers temps? 

vendredi 10 février 2017

IXXI ou son nectar anti-âge.

Eh dis donc, ça faisait un petit bout de temps que je n'étais pas venue par ici! 
Bon, le mois de janvier étant terminé, je pense que l'on va s'asseoir correctement sur les voeux de bonne année (que je te souhaite malgré tout, bien bonne). 

Je reviendrais dans un prochain billet sur le blabla de ma vie (que tu peux suivre de temps en temps sur Snapchat, si le coeur t'en dis). 

Aujourd'hui, je reviens pour te parler de ma découverte du moment. Alors non, IXXI n'est pas réellement une découverte pour moi, j'en avais déjà parlé sur le blog par ICI et LA

Je ne vais donc pas te faire l'affront de te refaire le topo sur l'histoire de la marque que tu dois connaitre si tu me suis depuis un moment (si non, et bien tant pis, fallait suivre -p). 
En deux mots comme en deux cents (j'aime toujours pas les phrases toutes faites en 2017), IXXI est une jolie marque francaise née dans les Landes et qui a enfin son site internet (parce que avant c'était un peu, voir beaucoup trop la galère pour dénicher les produits). 


Je vais passer rapidement sur le baume soyeux démaquillant dont j'ai déjà parlé et si tu aimes les maquillages chargés, je te conseille de passer ton chemin. Pour une routine make up ultra légère comme la mienne, ça peut aller mais je suis une adepte du double nettoyage donc bon...

Le contour de l'oeil, je t'en reparle très vite dans un billet sur mes dernières découvertes spécial "contour de l'oeil" (c'est qu'elle deviendrait presque organisée la Kaki et don't worry, comme les photos sont déjà faites, ça devrait rouler plutôt bien cette affaire!). 
Non aujourd'hui, si je reviens c'est parce que chaque soir, je me dis qu'il faut que je vienne te parler du changement! 
Alors en vrai, le changement a eu lieu en novembre dernier, autant dire une vie dans le langage des cosmétiques mais depuis que j'ai terminé ce petit flacon doré, il me manque tellement. 


La présentation du produit selon la marque...
Innovation de la recherche IXXI, ce sérum huile précieux pour le visage, à la texture infiniment soyeuse, offre une action anti-âge globale. Synergie unique d’extraits de Pin (OPC PIN issu de l’écorce, huile de graines de pin, extrait d’aiguilles de pin), l'Absolu Anti-Âge agit efficacement pour des bénéfices hautement redensifiants, régénérants et protecteurs.
Les rides sont corrigées, la peau est nourrie, elle retrouve confort et éclat.
Sérum huile pour visage testé sous contrôle dermatologique. Non comédogène.

Alors clairement, jusqu'à ce que ma copine Fressine parle d'une huile hydratante qu'elle utilisait quotidiennement sur le visage, il ne me serait JAMAIS venu à l'esprit d'utiliser ce genre de texture pour m'hydrater l'épiderme. Surtout que je suis une nana qui prône la matité à n'importe quel moment de la journée (je t'ai déjà dit que je détestais les illuminateurs de teint?). 

Mais en Fressine (qui a fermé son blog #scandale), we trust. 

J'avais ce flacon dans mon placard, les rides qui vont bien pour l'anti-âge donc why not? 

Et comme je ne fais rien comme tout le monde, au bout de la troisème application, j'ai décidé que la crème hydratante était superflue et que cette huile se suffisait à elle-meme. 
J'avoue ne pas avoir été très franche le premier jour où je l'ai appliqué seule, priant pour ne pas luire telle une frite ayant trempée dans son jus, mais absolument rien à déclarer de ce coté en fin de journée. 
La peau est clairement hydratée, pas de film gras, au contraire, un aspect "velouté "(mon visage aurait pu être la définition d'une peau d'abricot à cette époque. Depuis les choses se sont gâtées, mais je te raconterais une autre fois!) et une excellente base de maquillage pour le coup! 
Grâce à l'odeur des plantes, une sensation de fraîcheur et peau propre instantanée, aucun "pli" au réveil (tu verras quand tu auras mon âge!) et le tout pour un budget trois fois moins cher comparativement aux produits exportés (ok, je ne suis pas crédible dans la peau d'une écolo forcenée mais bon...).


mardi 8 novembre 2016

Nutri Filler de Filorga pour une bouche en coeur!

Tout d'abord, dresser un rapide état des lieux! Je suis une ancienne fumeuse (d'accord ça fait pas un mois mais ancienne fumeuse quand même non mais ho!) qui a clopé sans vergogne pendant plus de 20 ans et je n'ai jamais utilisé de soin quelconque pour ma bouche. 

J'avais dit rapide l'état des lieux, je n'ai pas menti. 

Je n'ai jamais eu les lèvres plus sèches que de raison, je n'utilise donc que très rarement un baume à lèvres. Un coup de Labello quand je passe devant et roulez jeunesse! 


Mais bon, il faut avouer que devant les lèvres de plus en plus pulpeuses (et de moins en moins naturelles) de nos influenceuses, forcément c'est une zone qui finit par te titiller devant le miroir. 
En vieillissant, comme pour le reste, le résultat n'est pas glorieux et je suis bien forcée d'admettre que je mets de moins en moins de rouge à lèvres rouge par exemple. D'abord, les couleurs vives ont quand même tendances à te donner un joli coup de vieux mais surtout ça file dans les plis ridules!

Je ne suis pas plus tentée que ça à passer par la case "injection", j'ai très très peur des aiguilles (quand je n'y suis pas obligée, entend par là: à des fins thérapeutiques) et j'ai encore plus peur du résultat "duck face" (un petit coucou à Meg Ryan et ses copines). 

Filorga a du sentir le vent tourner dans ma contrée puisque j'ai reçu il y a une dizaine de jours, le soin Nutri Filler Lips pour tenter de me réconcilier avec ma bouche. Il y avait bien longtemps que je ne m'étais pas emballée pour une innovation cosmétique et je suis ravie que le phénomène se soit produit  avec ma marque préférée. 

Il s'agit donc d'un baume à lèvres nutri-repulpant tri-fonctionnel:
- Nutritif et réparateur. Grace à la combinaison d'huiles nutritives et de beurre de Karité, ce baume restaure et protège les lèvres déshydratées et/ou abîmées. 
- Repulpant et lissant. Un peptide stimule la synthèse de collagène pour lisser les lèvres et recréer le rebond naturel de la bouche, tout en redéfinissant les contours. 
- Revitalisant. Un actif stimulant, associé au NCTF revitalisant de Filorga ravive la couleur des lèvres pour un aspect plus jeune immédiat. 



Je partais avec tout un tas d'a priori, prête à hurler à l'esbrouffe et à la surconsommation et puis, j'ai appliqué le baume sur mes lèvres. Ce truc est juste dément! 
Il y a effectivement un effet repulpant immédiat (mais pas durable dans le temps, n'abuse pas non plus, on n'est pas à Lourdes!), tu peux d'ailleurs faire le test de visu en appliquant le baume uniquement sur la moitié de la bouche, le résultat est tout simplement bluffant. 

Depuis que je l'ai, il vit sa vie au fond de mon sac et je l'applique environ quatre fois par jour (aussi parce que ça m'aide dans l'arrêt du tabac de sentir la texture sur ma bouche, j'avoue). 
Une application hyper agréable grâce à son embout en silicone et à la dose de produit modulable puisque le débit se gère en faisant tourner l'extrémité du tube (à la manière d'un rouge à lèvre). 

Evidement si tu n'aimes pas les textures grasses, voir collantes, je te conseille de passer ton chemin mais si tu aimes l'odeur des produits de la marque, si tu as envie d'être étonnée par un produit cosmétique ou si tu as envie de retrouver une bouche digne de ce nom, n'hésite plus et cours jusqu'à la parapharmacie la plus proche! 

vendredi 4 novembre 2016

Naturé Moi et moi...

Je montre de moins en moins ma bouille par ici, parce que j'ai passé l'âge et que je suis de moins en moins à l'aise avec le fait d'exposer mes pores à la première venue, mais si tu me suis sur les réseaux sociaux (le charme de l'instantané, vite oublié!), tu auras remarqué que j'ai changé de couleur de cheveux. 

Ah mes cheveux, toute une histoire! Et je cherche encore, quelle coupe, quelle couleur sera faite pour moi. Alors, en attendant, je laisse pousser (par peur de franchir le cap d'une coupe très courte) et j'éclaircie (pour passer le temps!). 
Pour passer le temps, n'est pas vraiment exact, je devrais plutôt écrire pour "atténuer le passage du temps". J'ai des cheveux blancs depuis un peu plus de 20 ans maintenant, et avec les cheveux bruns (qui est ma couleur préférée), la repousse des racines est très accentuée. Repousse qui m'obligeait du coup, à passer régulièrement par l'étape coloration maison et chez le coiffeur tous les trois mois pour rattraper la misère (les cheveux de la nuque sont ceux qui sont toujours oubliés, sache-le!). Avec ma couleur actuelle, la repousse est toujours aussi blanche mais la démarcation est moins tranchée et me permet d'espacer ces actes de tortures capillaires toutes les cinq semaines environ. 


Mais qui dit cheveux éclaicis, dit décoloration et qui dit décoloration, dit "aie, aie, aie, mes cheveux!". Les longueurs sont fragilisées, les pointes doivent être coupées et le tout très bien hydraté. 
Et puis, comme à chaque fois que je regarde une vidéo de Coline, je pense qu'il serait peut-être temps de me tourner vers des produits un peu plus naturels (elle a des cheveux canons, avoue!) et du coup, j'arpente les rayons de l'hypermarché à la recherche du saint Graal qui ne me couterait pas un rein et deux omoplates (on ne parle jamais des omoplates, c'est dommageable!). 

J'ai acheté la gamme pour cheveux colorés de la marque Naturé Moi, histoire de me faire ma propre opinion sur le sujet et surtout voir si les résultats avaient un peu évolués par rapport à mes précédents essais dans ce domaine. 

Shampoing Couleur Eclat
Grâce à l'association de la groseille BIO d'Ardèche et de l'huile de pépin de raisin BIO, la couleur n'aura jamais été aussi protégée et prolongée ! Les cheveux sont éclatants des racines jusqu'aux pointes !
Le shampooing couleur éclat nettoie les cheveux en douceur sans les alourdir tout en les protégeant des agressions extérieures. Nourris, ils retrouvent leur brillance.

Avoue que le pitch de la marque fait rêver, non? Pour ma part, je suis conquise par la packaging, l'ouverture en clapet est quand même ce qui se fait de plus pratique pour un shampoing et je trouve la présentation assez soigné pour du Bio (tu vas me dire de ce coté là, les marques Bio partaient de loin et ont fait de réels efforts ces dernières années). Je ne sais pas par quel miracle, ce soin lavant mousse mais il mousse correctement (pour du Bio s'entend), ce qui me donne l'impression de vraiment me laver la tignasse. Pour ce qui est de la brillance, non là je ne vois pas. Idem pour l'hydratation c'est loin d'être foufou. Le prix est plus que correcte (4€ les 250ml, c'est raisonnable pour ce genre de produit) mais rien qui me donne envie de le racheter et il a une odeur fleurie (qui personnellement me rappelle les bombes désodorisantes, donc pas très glamour). 

Après Shampoing Couleur Eclat
Grâce à l'association de la groseille BIO d'Ardèche et de l'huile de pépin de raisin BIO, la couleur n'aura jamais été aussi protégée et prolongée ! Les cheveux sont éclatants des racines jusqu'aux pointes !
Notre après-shampooing couleur éclat se rince facilement, démêle parfaitement les cheveux sans les alourdir et les protège des agressions extérieures. Nourris, les cheveux retrouvent douceur et brillance.
Son délicieux parfum aux accords fruités et gourmands laisse une délicate note sur les cheveux !

Le problème du shampoing dont on vient de parler, c'est qu'il lui faut absolument un soin derrière sous peine d'avoir de la paille sur la tête à démêler. J'ai donc pris, le combo avec l'après shampoing pour ne pas me louper. 
Le problème, c'est que je n'ai pas trop vu la différence avec ou sans, c'est embêtant. Il ne démêle absolument pas mes cheveux épais et mi longs, je ne lui trouve pas non plus une quelconque utilité pour raviver l'éclat ou protéger la couleur. Si, l'odeur est un peu moins prononcée que pour son grand frère le shampoing.

Du coup, j'ai craqué en Angleterre, il y a deux semaines pour m'offrir un nouveau Big de chez Lush que j'utilise très très périodiquement (il est sinon très agressif en usage quotidien) et pour des shampoings de la marque Aussi (qui au niveau composition est certainement ce qui se fait de plus mauvais dans nos rayons actuellement) qui ont l'avantage de mieux cacher la misère. 

mercredi 2 novembre 2016

Ma routine Aquasource de Biotherm.

A la fin de l'été, j'ai eu envie de me tourner vers quelque chose de plus léger au niveau de ma routine pour le visage et en rédigeant ce billet, je me suis rendue compte que cette envie se faisait ressentir toujours à la même période.
Envie de plus de légèreté que ce que m'apporte ma routine Filorga avec des textures plus aqueuses, moins "cocooning" et ça me donne l'occasion, une fois par an donc, de tester d'autres formulations.
J'avais donc opté pour Biotherm dans la gamme Aquasource que j'avais déjà testé en format voyage pour la crème de jour lors de mon séjour à Milan (il y a une éternité) et qui m'avait laissé un souvenir de fraicheur et d'hydratation maximale.


Creme de jour Aquasource 
Le nouvel Aquasource est sur-concentré en Plancton de Vie pour garder la peau hydratée tout au long de la journée.
Immédiatement, la peau est comme réimbibée. Elle est réhydratée, éclatante de santé pour un toucher rebondi. 
Tous les jours, la peau perd ½ litre d'eau. La nouvelle formule Aquasource permet à la peau de rester hydratée heure après heure. 
Sans paraben, le nouvel Aquasource conserve sa texture gel unique plébiscitée par les femmes du monde entier : un toucher frais et agréable, qui fond sur la peau, pour éveiller les sens au quotidien.

J'aime sa texture en gel, hyper frais à l'application, il en faut une toute petite noisette pour l'ensemble du visage (je n'ai pas le réflexe de prolonger dans le cou ce qui est bien regrettable!). La crème pénetre rapidement et permet de ne pas attendre pour s'enduire (façon de parler) de fond de teint. Ma peau reste très bien hydratée pour cette période de l'année, elle est confortable jusqu'au soir sans sensation de tiraillement. 

Crème de nuit Aquasource Night Spa
Réhydratez votre peau durant la nuit avec Aquasource night spa - un baume gélifié pour une hydratation intense de la peau pendant la nuit.
La formule iconique d'Aquasource se présente sous une texture masque. Dès le réveil, la peau est douce et rebondie.
Nuit après nuit, la peau se transforme, les ridules de déshydratation s'atténuent, le teint est plus éclatant et la peau repulpée.

Hormis le conditionnement, un pot en verre hyper lourd, j'ai également beaucoup aimé ce soin pour le soir. Appliqué après la douche, sur mon visage parfaitement nettoyé, il hydrate parfaitement l'épiderme sans laisser de film gras comme c'est souvent le cas avec les soins de nuit. La peau reste hyper confortable tout au long de la soirée et au réveil, je n'ai pas constaté de déshydratation importante. Il ne s'agit pas d'un soin ciblé anti-âge, du coup je suis obligée (genre) d'appliquer un sérum pour lutter contre le vieillissement (et me donner bonne conscience!). 



J'ai, depuis deux semaines, commencé une nouvelle routine assez étonnante (enfin pour moi) dont je reviendrais te parler dans quelques jours mais j'avoue avoir hâte de retourner vers ma routine Filorga. Routine que j'ai d'ailleurs trouvé un peu moins chère qu'en pharmacie, dans la parapharmacie de mon supermarché Carrefour mais de toutes manières, niveau budget, pour Biotherm on surfe sur les même tarifs donc bon...