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lundi 17 avril 2017
mardi 28 mars 2017
Rituals...
Oui, oui, oui, j'ai (et j'aurais toujours, je crois) un train de retard pour te parler de ma seconde rencontre avec Rituals.
Toujours lors de mon dernier voyage à Londres, en attendant l'Eurostar du retour, j'ai flâné dans les boutiques de la gare St Pancras pour dépenser mes dernières livres (qui, avoue, ne me servent à rien en France, alors à quoi bon?). A ce sujet, j'ai été très contrariée de constater que The Body Shop n'y avait plus de boutique mais en faisant quelques pas, je suis tombée sur la nouvelle boutique Rituals.
Rituals, je connaissais déjà. J'avais découvert la marque lors d'un week-end à Amsterdam et John m'avait ramené un kit de voyage lors d'un de ses déplacements.
J'avais aimé leurs gels de douche, qui a la même texture que celle des mousses à raser mais j'avais été un peu refroidit sur les senteurs que je trouvais trop tenace, notamment sur les crèmes hydratants pour le corps ou les mains. Je ne peux plus sentir la gamme Sakura que je trouve très mal dosée aux niveaux des effluves et beaucoup trop poudré. EN un mot comme en cent, ça cocotte sévère.
Je n'étais jamais rentrée dans une de leurs boutiques, uniquement chez des revendeurs et j'étais assez curieuse de l'atmosphère de la marque.
Ca ressemble à s'y méprendre à l'univers de la marque Sabon, pour ce qui est de l'aménagement des boutiques. Quoi qu'un petit peu plus cosy, peut-être... Mais sinon, les produits sont déclinés par "rituels" et l'on peut tester les textures près du point d'eau central.
Les vendeuses connaissent parfaitement leur travail, et en quelques questions, savent vers quelle gamme te diriger.
Personnellement, je ne me crème jamais plus de quatre jours d'affilés le corps et pour les soins du visage, j'essaye d'éviter les compositions aux odeurs si prononcées.
J'avais envie de ramener un gel de douche pour le coté confort sous la douche et j'ai opté pour la gamme Ritual of Light, que je pensais (à tort) être une exclusivité pour les fêtes de fin d'année.
L'odeur (pas du tout subtile malgré ce qu'en dit la marque, mais pas dérangeante pour autant quand la saison s'y prêtait) d'orange douce mêlée à celle plus chaude de la cannelle, a fait de cette mousse de douche, un moment assez "cocooning" en fin d'année dernière.
Et j'ai craqué pour la bougie (on ne se refait pas à mon âge, c'est bien trop tard!) que j'ai si bien rangé, que je l'avais totalement oublié. Pas grave, elle sera parfaite l'hiver prochain.
Mais le petit truc en plus de la marque (en tout cas en Grande-Bretagne), c'est qu'en achetant deux produits, on t'offre deux minis bougies de ton choix. J'ai donc choisit Incense qui sent fort l'encens et que je n'ai pas encore fait brûler mais qui sent à travers le tiroir du buffet. Pour la seconde, qui sent la cardamone verte et qui promet des effluves un peu plus fraiches, elle sera parfaite d'ici quelques jours semaines.
vendredi 24 mars 2017
La gelée nettoyante Ole Henriksen.
Lors de mon dernier périple à Londres... Je ne sais même plus quand... en octobre dernier (merci mon fil Instagram), en déambulant chez Selfridges dans le corner beauté, je suis tombée sur la marque Ole Henriksen.
Et si aujourd'hui, je ne teste plus de produits soins et me cantonne à utiliser des marques de référence, selon moi, comme Filorga et Khiels (bien que sur cette dernière, je vais revenir par ici très bientôt), coté démaquillage, mon âme de testeuse reste aventurière.
La marque crée il y a 3 ou 4 ans porte donc le nom de son créateur, un danois. La gamme est conçue pour être efficace et sûre sur tous les types de peau. Des extraits actifs sont incorporés dans chacune des formulations pour améliorer le renouvellement cellulaire.
Plusieurs gammes sont disponibles selon les types de peau coté soins du visage mais là, j'avoue avoir fait "petite joueuse" et je me suis dirigée vers la gelée nettoyante.
Parce que si tu me lis depuis quelques temps, tu sais à quel point j'aime découvrir de nouvelles galéniques pour cette étape, un peu ennuyeuse de ma routine quotidienne.
Il s'agit donc d'un nettoyant 3 en 1, un gel qui se transforme en huile puis en pseudo lait hydratant.
Riche en vitamine C, ce gel répare et nourrit la peau tout en y apportant de l'éclat.
J'aime beaucoup la texture qui est un gel assez épais, l'impression de se masser le visage avec du miel, assez réconfortant en fin de journée, la texture s'affine pendant le massage mais une fois émulsionner avec de l'eau, on est quand même très très loin de la promesse du lait hydratant.
C'est exactement le même résultat qu'avec une huile lambda, qui une fois émulsionnée blanchit.
Il est très efficace pour le démaquillage, comme tous les produits proposant ce genre de texture finalement et même si il est recommandé de ne pas l'appliquer sur les yeux, je l'utilise pour tout le visage (faut pas trop m'en demander et deux produits pour me démaquillants, c'est beaucoup trop) et je n'ai ressenti ni picotements, ni brûlures sur le contour de l'oeil.
Un petit bémol pour l'odeur que j'imaginais plus forte, elle reste hyper agréable même si je m'attendais à une agrume un peu plus "punchy" dans la composition.
J'ai payé le pot de 118ml (!), 28€ chez Selfridges et le prix me parait raisonnable au vu de la faible quantité nécessaire pour chaque utilisation.
Depuis? Je t'avoue que je m'ennuie. Je ne trouve pas que les marques fassent preuve de beaucoup de créativité dans ce domaine...
lundi 13 mars 2017
Mes dernières séries...
Je crois que Netflix est devenu mon dealer officiel!
Malgré tout, je me suis rendue compte qu'en plus d'être totalement névrosée (c'est mon nouveau truc et ça fait rire tout le monde, tant c'est absolument n'importe quoi! Disons que j'aurais adoré l'être...bref!), je suis résolument monomanique et ça, quelque soit le sujet.
Pour la nourriture, je suis capable de manger un aliment matin, midi et soir et de ne plus y toucher pendant des mois, voir des années. Pareil pour la musique, j'écoute un album, une chanson, un artiste en boucle jusqu'à l'écoeurement. Idem pour la lecture que j'ai complètement laisser tomber ces dernières semaines alors que j'étais plutôt bien partie depuis le début d'année...
Pour les séries, sans surprise, c'est le même combat. Je consomme, je consomme et je reste des semaines sans m'y replonger. Faut croire que ces dernières semaines, j'ai refait le grand saut de ce coté là...
Breaking Bad
Bon là, on sera d'accord pour te dire que je ne vais rien te faire découvrir du tout, puisque je pense être la dernière personne à avoir découvert cette série. Breaking Bad (ou Le Chimiste au Québec) est une série qui est basé sur Walter White, professeur de biologie qui mène un vie tout ce qu'il y a de plus banale. Banale jusqu'à ce qu'il apprenne être atteint d'un cancer du poumon et décide de mettre sa famille à l'abri du besoin financier en devenant fabriquant de métamphétamines.
J'ai complètement dévoré les cinq saisons, sur le même mode qu'avec The Walking Dead, c'est à dire en mode "associale", tous les soirs, tous les week-end jusqu'au dénouement final.
Ca m'a pris trois semaines. Cinq saisons en trois semaines. Oui, madame! J'ai même penser un court instant à tomber malade pour rester vautrer dans le canapé, tu imagines?
The O.A.
Là, ca va se compliqué parce que c'est assez difficile de te parler d'une série dont je n'ai absolument RIEN compris. C'est une première... Je n'ai jamais prétendue être le cerveau du siècle, ni même de l'année mais là, j'avoue n'avoir toujours pas compris à ce jour où voulait nous emmener les scénaristes. Et ça va être encore plus coton de tenter d'expliquer sans trop en raconter.
Prairie, aveugle depuis sa plus tendre enfance, revient dans sa ville natale sept ans après avoir soudainement disparue. Elle revient sans explication et voyante, refusant d'expliquer quoi que ce soit sur ces sept dernières années sauf à cinq personnes...
Je ne suis pas fan des séries de science-fiction, et je ne pense pas que j'aurais qualifiée cette série comme de la SF, c'est un délire un brin "onirique" mêlée de réflexions sur les traumatismes, le rapport à la mort et à ce qu'il peut se passer après.
J'ai détesté, mon barbu est moins catégorique et attend la saison deux pour essayer de comprendre les pourquoi des comment, mais ce sera sans moi.
Reign
Reign est une fois encore pas de toute première jeunesse pour les "séritovores" (tiens, un nouveau mot, il y avait longtemps!), puisque cette serié affiche presque trois saisons au compteur.
La série est "tirée" de la vie de Marie Stuart, reine d'Ecosse et si je mets de gros guillemets c'est parce que si on retire le nom de l'héroine principale, rien de tout ce que l'on peut voir n'est issue de sa propre vie au delà du premier épisode. Bref, en un mot comme en cent, si tu voulais t'instruire, passe à autre chose ou tu auras l'air d'une bécasse dans tes futures soirées.
Marie Stuart, à peine âgée de quinze ans, débarque en France après avoir passée sa jeunesse dans un couvent pour devenir la future Reine de France, épouse du prince Francois.
Moult rebondissement, des trahisons en veux-tu en voilà, des infidélités, du sang, des complots sont le lot de chaque épisode. Reign se regarde gentiment et je suis passée de la plus grande affection à la pire irritation pour cette jeune reine tous les cinq épisodes.
Gilmore Girls (10 après)
On va la faire courte, Gilmore Girls tu dois connaître, une série qui racontait la vie d'une mère célibataire et de son adolescente de gamine, un peu friquée mais pas trop, accroc à la caféine et aux petites emmerdes quotidiennes... Tu resitues? Bien.
Quand j'ai lu que les scénaristes remettaient le couvert pour quatre nouveaux épisodes pour nous conter ce que les habitants de Star Hollow étaient devenus, j'étais follement impatiente à l'idée des retrouvailles. J'aime beaucoup Lauren Graham mais l'actrice qui joue sa fille beaucoup moins et même si ça fait plaisir de les retrouver, j'ai trouvé ça un peu indigeste à la longue...
Sign Sealed Delivered
Attention, coup de coeur! (le dernier en date!
Je suis tombée sur cette série un peu par hasard, j'ai regardé un épisode et la magie a opéré dès les premières minutes.
Un service désuet et totalement oublié de la poste, travaille dans les sous sols d'une succursale pour retrouver les destinataires des courriers égarés. C'est lent, sans trop d'intrigues, désuet, j'ai même le sentiment que cela aurait pu être écrit au siècle dernier mais j'aime tellement l'atmosphère qu'il s'en dégage que ce fut un petit bonheur au fil des neuf épisodes.
The crown
La série est arrivée en fin d'année dernière sur Netflix retraçant la vie de la plus célèbre des monarques, ElisabethII. Arrivée au pouvoir lors de son vingt cinquième anniversaire, elle va devoir composer avec l'imposant Churchill, négocier avec l'ego de son mari tout en restant à sa place....
Je trouve la photo de la série très sombre, le récit un peu long parfois mais c'est assez fidèle à la réalité dans l'ensemble...
Et j'en ai six nouvelles sous le coude !
mercredi 8 mars 2017
Tristesse...
Ce soir, affalée sur mon canapé, je regarde distraitement le flux de mes réseaux sociaux et puis, je vois une photo de la célèbre arche de Gozo, plus connue sous le nom de Azure Window. Je souris.
Je souris à la vue de la photo et continue de compulser mon flux Instagram.
Un second cliché puis un troisième et je finis par lire les textes...
Sous le poids d'une énième tempête, la nature a reprit ses droits et englouti cette beauté née de l'érosion qu'elle avait, elle-même façonnée au fil du temps.
Mon coeur s'est fendu sur l'instant et bêtement mes yeux ont, eux aussi pris l'eau.
J'ai attrapé l'ordinateur, manipulé Facetime pour joindre Mr Grumpy, lui suppliant presque d'appeler son père pour nous rassurer. Nous avouer qu'il s'agissait d'une immense campagne de publicité de l'office du tourisme local ou d'une blague maltaise de mauvais goût.
Mr Grumpy a prit son air le plus grave pour m'avouer la triste vérité. Azure Window n'est plus et mes larmes ont reprit du poil de la bête.
C'est quand même ridicule de se mettre dans un état pareil pour de la roche, pas vrai?
L'Ingrat a fait ses premières plongées à ses pieds, presque "protégé" par cet immense bras. On y a passé tellement de moments, pas un seul passage sur l'archipel sans nous rendre sur le site pour y admirer la vue, un coucher de soleil ou tout simplement se retrouver un peu seule face à la mer quand le flot de touristes de la journée disparaissait.
La photo ci-dessus est manifestement les adieux de l'Ingrat à cet "Etretat" maltais. Le tout dernier jour de notre toute dernière visite à Gozo, à la fin de l'été 2014...
La lumière y était sublime à toute heure de la journée, comme partout ailleurs sur l'île et comme je pouvais pester après ces touristes inconscients qui bravaient les panneaux d'interdictions et qui continuaient à jouer avec le danger en se promenant dessus, raccourcissant certainement sa lente et inéluctable dégradation...
J'ai eu la chance de pouvoir visiter des lieux magnifiques dans ma vie mais mes plus beaux couchers de soleil c'est bien cette "fenêtre d'Azur" qui me les a offert...
jeudi 23 février 2017
Une jolie crédence ou l'illusion de la faïence...
Pour écrire ce billet, je suis allée faire un tour sur celui que j'avais rédigé après mon installation. Et que dire, à part que les transformations n'ont finalement jamais cessé. Transformations matérielles mais pas que. Moi aussi, j'ai changé. En bien (je l'espère) mais je ne suis définitivement plus la même qu'à mon arrivée dans cette région et (petit moment d'auto congratulation) je m'en réjouis!
Bref! On va la faire courte et pour l'introspection, on se retrouvera une autre fois (ou pas, parce que m'épancher ça va bien cinq minutes et puis quand tout va plutôt bien, j'ai toujours tendance à me la jouer Grande Muette!).
Je suis locataire d'un logement social alors même si je n'ai jamais eu envie de vivre dans un truc insalubre, il a toujours été hors de question de me lancer dans des travaux de rénovation qui allait me couter un PEL (pour les organes, j'ai déjà tout vendu, il y a belle lurette!).
(Oui, le bordel, c'est cadeau!)
A mon arrivée, j'ai bien entendu repeint toutes les pièces du sol au plafond mais rien de plus (la salle de bain ne compte pas, le père de l'Ingrat étant plombier de profession, je n'ai pas déboursé un centime).
Dans la cuisine, par contre ça a prit plus de temps. Pour être franche, il a fallut le temps que je me retrouve l'envie de cuisiner et du coup de me rendre compte qu'elle n'était pas pratique du tout!
Dans ce genre de location, il n'y a jamais de cuisine équipée (faut pas rêver), juste un meuble sous évier (le mien est en inox, la plaie universelle si l'eau est calcaire et devine?) et basta.
Pas de plan de travail, de rangement ou d'étagère. Que dalle. Alors si j'ai "survécut" de cette manière les premiers mois, très vite je me suis mise à chouiner sur le peu de praticité de la pièce.
Mon Barbu a posé un plan de travail et avec ma belle-mère nous avons installées nos premières étagères.
Le résultat me plaisait plutôt pas mal et du coup, je ne voyais plus que cette crédence en carrelage blanc, un peu jaunit par le temps et des joints grisonnants.
J'ai farfouillé un peu, beaucoup sur le net et je suis tombée sur des autocollants, imitation parfaite de faïences anciennes. J'étais un peu sceptique sur le rendu de la chose et encore plus sur sa durée de vie (autocollant et endroit souvent aspergé d'eau (ici, c'est l'ingrat qui fait la vaisselle, ahem!) ne font pas vraiment bon ménage) mais je me suis lancée, malgré tout.
La pose est ultra facile (et rapide, ce qui ne gâche rien), il faut juste bien nettoyer la crédence et retirer toutes traces de graisse, laisser sécher et en avant pour l'application. Les autocollants se commandent au format du carrelage existant, et il suffit de les coller dessus avec une petite spatule pour chasser les bulles d'air.
On laisse bien adhérer pendant 24 heures et c'est tout.
On peut choisir la taille, le motif et la couleur. Pour ma cuisine, j'ai donc choisi deux motifs différents dans les mêmes teintes de noir et de gris (on ne se refait pas totalement).
Il m'a fallut 45 minutes pour faire l'ensemble de la crédence et je suis ravie du résultat.
Une crédence pour moins de 60 euros, frais de port compris. Le bonheur, je te dis!
Le site où j'ai déniché mes merveilles : AdR Carreaux
lundi 20 février 2017
Mes dernières lectures...
Pour les besoins de ce billet, je suis retournée sur d'anciennes publications et je me suis amusée à compter le nombre de livres lus en 2016. J'avais un peu peur du résultat et malgré un premier semestre lamentable, j'ai finalement réussi à terminer l'année sur 13 ouvrages compulsés.
On se gratifie d'un rien parfois.
Je pense que si 2017 continue sur cette lancée, on devrait pulvériser le score (tu remarqueras le vocabulaire sportif utilisé. Pour des livres d'accord, mais sportif tout de même.)!
Bon, j'avais également promis de ne pas attendre d'avoir terminé une pile comme comme mon avant-bras pour venir t'en causer, sur ce point, j'ai clairement échoué. Tant pis.
Et, il y a également ceux lus sur ma Kindle mais je pense que je ferais un second article.
Quand j'ai du mal à me plonger dans mes lectures, il me faut absolument quelque chose de léger, dont je ne me souviendrais plus trois semaines après l'avoir lu mais qui sur l'instant, t'embarque dans la seconde...
La petite boulangerie du bout du monde de Jenny Colgan.
Polly une jeune femme qui voit son mariage et son entreprise prendre l'eau, décide sur un coup de tête de partir seule dans un petit port de pêche des cornouailles.
Pour calmer ses angoisses et ne plus penser à rien, Polly pétrit. Fabriquer du pain lui vide la tête et lui permet également de payer son loyer. Polly se bat pour se faire une place parmi la population locale et finira, forcément par tomber amoureuse...
Aurora, Kentucky de Carolyn D. Wall.
En 1938, dans le Kentucky, entre racisme nauséabond et la pauvreté ambiante (je te plante un décors de rêve, avoue!). Olivia se bat pour élever son petit fils William tout en tenant l'épicerie d'Aurora, héritée de son père décédé et veille sur sa mère à moitié barrée.
Olivia vit seul, et ne vit que pour son William qu'elle élève seule depuis que sa fille s'est débarrassée du gamin pour aller vivre son rêve hollywoodien (grande classe).
En luttant à sa manière contre la ségrégation, Olivia va découvrir l'horrible vérité sur la disparition de ce père tant aimé et disparu beaucoup trop tôt...
Comment te dire? J'ai adoré ce roman.
J'aime beaucoup, de temps en temps, me plonger dans l'Amérique rurale du siècle dernier, beaucoup moins marquant que "Ne tirez pas sur l'oiseau moquer" de Harper Lee, il n'en est pas moins saisissant avec une fin inattendu, à la limite d'un très bon thriller.
Je te le recommande vivement!
L'éveil de Mademoiselle Prim de Natalia Sanmartin Fenollera.
"Cherche esprit féminin détaché du monde. Capable d'exercer fonction de bibliothécaire pour un gentleman et ses livres. Pouvant cohabiter avec chiens et enfants. De préférence sans expérience professionnelle. Titulaires de diplômes d'enseignement supérieur s'abstenir."
C'est la couverture qui m'a donné envie de soulever ce roman. J'ai eu envie de me plonger dans cette histoire en espérant y découvrir une belle histoire autour de personnages hauts en couleurs et profond. J'avoue avoir été un poil déçue. Evidement, l'idée de départ est bonne: un homme qui s'escrime à vouloir faire de son village reculé, un haut lieu de belles valeurs morales et d'entraide de voisinage, mais tout est beaucoup trop lent dans ce bouquin. Des descriptions à l'en plus finir et qui au lieu de servir l'histoire, donnent l'impression d'exister juste pour le plaisir d'épaissir une bien belle histoire mais qui aurait certainement trouver sa place dans un format "nouvelle".
Agatha Raison enquête, tome 1: La quiche fatale de M.C. Beaton.
Comment ne pas être intriguée à la lecture du titre un peu loufoque? Pour mémoire, je me souviens du régal à la lecture du "Cercle des amateurs des éplucheurs de patates", il y a quelques années de ça et depuis, dès qu'un titre sort un peu de l'ordinaire, je ne peux m'empêcher de le retourner.
Agatha Raison, publicitaire au dent longue, vend son agence londonienne pour aller vivre une retraite pleinement mérité dans un petit village des Costwolds.
Mais passer d'une vie trépidante et mondaine en plein coeur de la city à farnienter toute la sainte journée, ce n'est pas si simple en particulier pour Agatha.
Agatha, qui sous prétexte de vouloir se faire adopter par les habitants du coin, va se retrouver au coeur d'une enquête criminelle.
Et là encore, j'ai aimé l'ambiance du livre, comme à chaque fois que l'on m'emmène dans la campagne anglais ou en Irlande, un chouette petit roman policier à la "Agatha Christie" version débutante et amateur.
Les gens heureux lisent et boivent du café et La vie est facile, ne t'inquiète pas de Agnès Martin-Lugand.
Pour commencer, je dois rendre à Tartine (oui, je sais que tu as changé de pseudo, mais dans mon coeur tu restes ma Tartine) ce qui lui appartient et lui dire un grand merci pour la découverte.
Diane perd son mari et sa fille dans un accident de voiture et elle cesse immédiatement de vivre. Elle survit, seule avec Félix son ami de toujours qui veille sur elle de loin en tenant à bout de bras ce café librairie que Diane avait ouvert lorsque le bonheur était encore présent.
Dans un dernier élan de survie, elle s'envole pour l'Irlande pour essayer de se reconstruire ou au moins, pour ne plus avoir sous le nez, le souvenir de cette vie qui lui a été injustement retirée.
On quitte le premier roman, le coeur serré et la mine boudeuse sur une fin pas si heureuse que ce l'on en a attendu et puis, la magie de la découverte sur le tard, c'est que la suite est déjà disponible pour retrouver Diane, plus forte, plus belle mais toujours aussi touchante et vivre avec elle, "son happy end".
Depuis, cette photo qui ne date finalement que d'une dizaine de jours, deux autres romans ont été dévorés. On ne m'arrêtera plus!
Du coup, je pense que ce genre de billets va devenir un peu plus récurrents pour mon plus grand plaisir, parce que je trouve plus intéressant de faire le point sur mes lectures plutôt que sur des produits terminés (qu'il n'y aura plus ici, j'ai décidé de jeter au fur et à mesure, désolée).
Sur le même sujet, je reviens donc vite te parler de ma nouvelle liseuse et je te raconterais aussi comment je déniche mes futures lectures!
Et toi, tu lis quoi?
mercredi 15 février 2017
Les eaux florales et moi.
Je ne sais plus quand tout cela a commencé et en ce moment, si tu me demandes de cogiter à autre chose que ce pu**** de prêt qui va me cheviller au corps pendant 15 ans, c'est peine perdue! (C'est d'ailleurs, peut-être voir sûrement, la raison de la reprise du blog, un besoin presque vital de m'évader en parlant futilités).
Bref! Je disais que je ne me souvenais plus du tout à quel moment l'addiction aux eaux florales a bien pu débuter... Je me souviens, il y a encore quelques années, je ne supportais pas l'odeur de l'eau florale à la rose. Un "cliché qui va bien" sur les mémés, certainement.
Et puis, j'ai découvert le maquillage, les soins et forcément le démaquillage avec tous les tâtonnements que cela impliquent, tu t'en doutes.
J'ai mis un temps fou à trouver LE démaquillant qui me permet de ne pas éviter cette étape et même de lui conférer un certain plaisir. Ce n'est pas vraiment un secret, pour moi, il s'agit de l'huile démaquillante. Longtemps celle de Shu Uemura d'ailleurs, et puis pour essayer de ne pas y passer toutes mes économies, j'en ai testé beaucoup pas toujours avec le même plaisir mais souvent avec une efficacité prouvée.
Si l'huile est, encore une fois pour ma part, la galénique la plus approprié pour le démaquillage, elle m'astreint au double nettoyage et pour ne pas laisser un résidu de calcaire sur mon visage, j'ai donc adopté l'eau florale pour la touche finale du démaquillage. Sentir ma peau propre et fraîche, c'est la récompense en rentrant du boulot (je ne me maquille pas le week-end).
Au fil du temps, c'est également devenu un geste incontournable de ma routine du matin.
Je me lève, je file vers pipi (le sens des priorités!), je passe par la salle de bain pour passer un coton imbibé d'eau florale, je mets mes sérums/crèmes et je passe à la cuisine pour le jus d'orange pressé.
Ce geste du matin permets de réveiller mes traits et de retirer le film un peu gras que la nuit a généré.
Mariel, du blog Le Blog De Néroli, ne jure que par la fleur d'oranger. Et moi, devant Mariel, je suis un peu faible, j'avoue!
Note que je déteste la fleur d'oranger dans l'alimentaire et que je n'en étais pas une très grande amatrice dans les cosmétiques ou les parfums, mais il faut croire qu'avec l'âge...
Il y a bien aussi eu la crème à la vitamine C de The Body Shop qui sentait bon l'agrume du soleil et qui m'avait un peu laissé "entrevoir la lumière".
Bref, après terminé un énième flacon de mon eau de rose, j'ai flâné dans le rayon et j'ai attrapé celui à la fleur d'oranger. Le début de la fin. Aujourd'hui, ma maison respire l'agrume!
De la fleur d'oranger sous toutes ses variations et ce n'est même pas une senteur de saison! Oui, je déteste ne pas être en phase météologiquement et olfactivement parlant mais le printemps va bien finir par pointer le bout de ses bourgeons non?
lundi 13 février 2017
Mes dernières séances ciné...
Si j'ai beaucoup déserté le blog, ces derniers mois c'est d'abord à cause de ma feinéantise légendaire et puis, un peu aussi, parce que je suis la fille la plus désorganisée de la planète. Enfin, j'en ai bien l'impression (mais maintenant, je le vis bien!).
Non, parce que même si je blogue depuis plus de dix ans maintenant, je continue de ne pas piger comment font les autres blogueuses. Enfin celles qui travaillent à coté ne se sont pas professionnalisées, j'entends!
Un boulot à 35h voir plus (t'inquiète, je suis dans ta team, amie!), un appart, des enfants, un mec, un chat et un frigo à remplir, je suis constamment sous l'eau. Enfin si je veux profiter un tant soit peu des miens. Je n'y arrive pas. Je te jure que j'ai essayé mais à chaque fois il y a un truc...
Genre, j'ai prevu de bloguer un samedi matin et paf, il neige. Vite, un manteau, des bottes et zou, bonhomme de neige avec la paupiette!
Un autre samedi, je me lève, j'ouvre les volets et grand ciel bleu; Vite, j'attrape lunettes de soleil (oui même en hiver, la malédiction des yeux bleus), mes clés et zou, au marché avec la paupiette. POulet rôtie et après-midi "guilli".
Une autre fois se sont mes racines à camoufler, une maison à visiter (je t'en reparle, je t'en reparle et tu connais le refrain), des plats à préparer pour l'Ingrat qui mange à la "gamelle" cette année (et je refuse le "tout préparé", je suis et resterais "old school" non mais c'est quoi ces histoires?), un livre à terminer (de lire hein, ne prends pas peur non plus!). Bref, la vie. Ma vie.
Bridget Jones Baby
Après avoir rompu avec Mark Darcy, Bridget se retrouve de nouveau célibataire, 40 ans passés, plus concentrée sur sa carrière et ses amis que sur sa vie amoureuse. Pour une fois, tout est sous contrôle ! Jusqu’à ce que Bridget fasse la rencontre de Jack… Puis retrouve Darcy… Puis découvre qu’elle est enceinte… Mais de qui ???
Oui, je suis allée voir le dernier opus de Bridget et oui, j'y ai emmené l'Ingrat (qui a beaucoup, beaucoup trainé de la savate mais qui a fini par sourire, un peu!).
Apparemment Renée a refusé de reprendre du poids pour ce 3ème jet et c'est une Bridget déplumée que j'ai retrouvé sur le grand écran. Limite, j'avais envie de lui balancer mes pop-corns!
Bon, à ce stade là, on veut bien lui pardonner à la Renée, on sait quel enfer cela peut-être quand on veut perdre 100 gramme après 40 ans...
Mais le botox, meuf on peut en parler? On se tape déjà toutes les youtubeuses dans ce registre, tu n'aurais pas envie de me refiler du naturel et surtout des expressions? Non parce que là, Bridget elle est tellement figée qu'il m'a fallut être hyper attentive pour comprendre lorsqu'elle chouine ou quand elle rit!
Dr Mamour n'a rien à foutre là dedans, parce qu'il reste toujours pas mal le Darcy malgré le fait que l'on augmente son taux de "coincitude" à son paroxysme sur chaque tournage (je crois qu'il doit avoir des flatulences refoulées, à vérifier!).
On finit par comprendre (et acquiescer) que Cleaver est refusé de rempiler sur un scénari aussi pauvre.
Radin !
François Gautier est radin ! Economiser le met en joie, payer lui provoque des suées. Sa vie est réglée dans l’unique but de ne jamais rien dépenser. Une vie qui va basculer en une seule journée : il tombe amoureux et découvre qu’il a une fille dont il ignorait l’existence. Obligé de mentir afin de cacher son terrible défaut, ce sera pour François le début des problèmes. Car mentir peut parfois coûter cher. Très cher…
Je devais aller voir ce film avec mon Clem d'amour (un ch'tio collègue tout choupi) mais nos emplois du temps n'ont pas réussit à se mettre d'accord et j'ai finalement été le voir in extremis avant qu'il ne quitte les salles.
Tu sais pas? C'est la dernière fois qu'il m'a le Boon. C'est lourd, pas très drôle et sans contenu.
Si tu veux sourire, regarde la bande-annonce et gagne du temps.
Inferno
Dans "Inferno", le célèbre expert en symbologie suit la piste d’indices liés au grand Dante lui-même. Robert Langdon se réveille dans un hôpital italien, frappé d’amnésie, et va devoir collaborer avec le docteur Sienna Brooks pour retrouver la mémoire. Tous deux vont sillonner l’Europe dans une course contre la montre pour déjouer un complot à l’échelle mondiale et empêcher le déchaînement de l’Enfer…
Je suis allée à Florence, l'été dernier et c'est en faisant des recherches sur la ville que j'ai appris que Robert Langdon allait remettre "les gants", tu n'imagines pas comme cette nouvelle m'avait mise en joie à l'époque.
Impatiente de voir le film, j'ai donc couru ventre à terre dans mon cinéma de province (à defaut de quartier hein), le jour de sa sortie, armée de pop-corns!
Bon. C'est du Dan Brown réalisé par Ron Howard donc dans l'ensemble, l'histoire se tient et elle est magnifiquement filmée. Par contre (oui, je suis pointilleuse ces derniers temps), Tom Hanks mon loulou, il aurait peut-être fallut un peu plus de remise en forme parce que là, coté crédibilité on approche le zéro pointé!
Omar Sy est toujours un peu à l'ouest quand il joue en VO, mais comme c'est le frenchie à la mode, on est quand même bien content de le voir trente secondes à l'écran même si son jeu est un peu pourri, faut avouer.
Dalida
De sa naissance au Caire en 1933 à son premier Olympia en 1956, de son mariage avec Lucien Morisse, patron de la jeune radio Europe n°1, aux soirées disco, de ses voyages initiatiques en Inde au succès mondial de Gigi l’Amoroso en 1974, le film Dalida est le portrait intime d’une femme absolue, complexe et solaire... Une femme moderne à une époque qui l’était moins ... Malgré son suicide en 1987, Dalida continue de rayonner de sa présence éternelle.
Sache que dans la famille, on est fan de Dalida (et aussi de Serge Lama mais là, n'est pas le sujet) de père en fille en fils!
Si tu ajoutes, mon engouement pour les biopics en tout genre, j'étais quand même LA cible pour ce genre de film.
Tu sais quoi? J'ai chanté sur tout le répertoire!
Hormis ça, absolument aucune émotion et pourtant avec la vie qu'elle a eu, y a de quoi pleurer dans les chaumières.
L'actrice qui incarne la chanteuse est juste formidable dans le rôle, elle nous embarque dès la première seconde du long métrage.
Pour le coté émotion, je te conseille de voir (ou revoir) le téléfilm en deux parties qui avait été diffusé en 2005 avec dans le rôle titre Sabrina Ferrili qui se défendait pas mal (malgré un faux air à l'autre chouchou d'Orlando, Hélène Segarra mais comme ça, la boucle est bien bouclée!)
Et toi, des coups de coeur sur format grand écran, ces derniers temps?
vendredi 10 février 2017
IXXI ou son nectar anti-âge.
Eh dis donc, ça faisait un petit bout de temps que je n'étais pas venue par ici!
Bon, le mois de janvier étant terminé, je pense que l'on va s'asseoir correctement sur les voeux de bonne année (que je te souhaite malgré tout, bien bonne).
Je reviendrais dans un prochain billet sur le blabla de ma vie (que tu peux suivre de temps en temps sur Snapchat, si le coeur t'en dis).
Aujourd'hui, je reviens pour te parler de ma découverte du moment. Alors non, IXXI n'est pas réellement une découverte pour moi, j'en avais déjà parlé sur le blog par ICI et LA.
Je ne vais donc pas te faire l'affront de te refaire le topo sur l'histoire de la marque que tu dois connaitre si tu me suis depuis un moment (si non, et bien tant pis, fallait suivre -p).
En deux mots comme en deux cents (j'aime toujours pas les phrases toutes faites en 2017), IXXI est une jolie marque francaise née dans les Landes et qui a enfin son site internet (parce que avant c'était un peu, voir beaucoup trop la galère pour dénicher les produits).
Je vais passer rapidement sur le baume soyeux démaquillant dont j'ai déjà parlé et si tu aimes les maquillages chargés, je te conseille de passer ton chemin. Pour une routine make up ultra légère comme la mienne, ça peut aller mais je suis une adepte du double nettoyage donc bon...
Le contour de l'oeil, je t'en reparle très vite dans un billet sur mes dernières découvertes spécial "contour de l'oeil" (c'est qu'elle deviendrait presque organisée la Kaki et don't worry, comme les photos sont déjà faites, ça devrait rouler plutôt bien cette affaire!).
Non aujourd'hui, si je reviens c'est parce que chaque soir, je me dis qu'il faut que je vienne te parler du changement!
Alors en vrai, le changement a eu lieu en novembre dernier, autant dire une vie dans le langage des cosmétiques mais depuis que j'ai terminé ce petit flacon doré, il me manque tellement.
La présentation du produit selon la marque...
Innovation de la recherche IXXI, ce sérum huile précieux pour le visage, à la texture infiniment soyeuse, offre une action anti-âge globale. Synergie unique d’extraits de Pin (OPC PIN issu de l’écorce, huile de graines de pin, extrait d’aiguilles de pin), l'Absolu Anti-Âge agit efficacement pour des bénéfices hautement redensifiants, régénérants et protecteurs.
Les rides sont corrigées, la peau est nourrie, elle retrouve confort et éclat.
Sérum huile pour visage testé sous contrôle dermatologique. Non comédogène.
Alors clairement, jusqu'à ce que ma copine Fressine parle d'une huile hydratante qu'elle utilisait quotidiennement sur le visage, il ne me serait JAMAIS venu à l'esprit d'utiliser ce genre de texture pour m'hydrater l'épiderme. Surtout que je suis une nana qui prône la matité à n'importe quel moment de la journée (je t'ai déjà dit que je détestais les illuminateurs de teint?).
Mais en Fressine (qui a fermé son blog #scandale), we trust.
J'avais ce flacon dans mon placard, les rides qui vont bien pour l'anti-âge donc why not?
Et comme je ne fais rien comme tout le monde, au bout de la troisème application, j'ai décidé que la crème hydratante était superflue et que cette huile se suffisait à elle-meme.
J'avoue ne pas avoir été très franche le premier jour où je l'ai appliqué seule, priant pour ne pas luire telle une frite ayant trempée dans son jus, mais absolument rien à déclarer de ce coté en fin de journée.
La peau est clairement hydratée, pas de film gras, au contraire, un aspect "velouté "(mon visage aurait pu être la définition d'une peau d'abricot à cette époque. Depuis les choses se sont gâtées, mais je te raconterais une autre fois!) et une excellente base de maquillage pour le coup!
Grâce à l'odeur des plantes, une sensation de fraîcheur et peau propre instantanée, aucun "pli" au réveil (tu verras quand tu auras mon âge!) et le tout pour un budget trois fois moins cher comparativement aux produits exportés (ok, je ne suis pas crédible dans la peau d'une écolo forcenée mais bon...).
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