Elle s'appelait Sarah de Gilles Paquet-Brenner.

Cet aprem' avec l'Ingrat, c'était cinéma! Cruel dilemme cette semaine puisque deux films se querellait notre préférence Elle s'appelait Sarah donc et un énième retour d'Arthur... Quand les deux parties n'arrivent pas à se mettre d'accord, la décision est donc prise par un juge impartial, à savoir : Moi!

Problème réglé en toute diplomatie... Puisque nous ne sommes que tous les deux cette semaine, nous irons donc voir Arthur demain soir parce qu'il est simplement hors de question, que je me tape une ribambelle de gamins dans la salle!

Mais parlons déjà, de celui que l'on a vu...

Le pitch :

Julia Jarmond, journaliste américaine installée en France depuis 20 ans, enquête sur l'épisode douloureux du Vel d'Hiv.

En remontant les faits, son chemin croise celui de Sarah, une petite fille qui avait 10 ans en juillet 1942.

Ce qui n'était que le sujet d'un article devient alors, pour Julia, un enjeu personnel, dévoilant un mystère familial.

Comment deux destins, à 60 ans de distance, vont ils se mêler pour révéler un secret qui bouleversera à jamais la vie de Julia et de ses proches ?

La vérité issue du passé a parfois un prix dans le présent...

Mon avis : 
Bouleversant... Incroyablement bien filmé, Kristin Scott Thomas est sublime et les dénouements du film inattendus. Inattendus si, comme moi, tu n'avais pas lu le livre de Tatiana de Rosnay dont est inspiré le film hein! A voir, emmène tes ados et ressors en étant toujours aussi abasourdie de ce que certaines personnes ont pu faire à d'autres! Et aussi en étant fière de la minorité qui n'a pas eu peur...